STANEVAL 1/11 ROUSSILLON
Créé en août 1952 à Reims, l’EC 1/11 « Roussillon » forme le noyau de la 11ème EC.
Du 5 décembre 1952 au 10 juin 1953, l’escadron stationne à Lahr avant de rejoindre Luxeuil où il est successivement équipé de F-84G/E « Thunderjet », puis de F-84F « Thunderstreak » puis de F-100D/F « Super-Sabre ».
En 1961 l’EC 1/11 rejoint Bremgarten avant d’arriver en 1967 à Toul-Rosières où il est équipé de Jaguar A/E à partir de 1977.
STANEVAL 1/11 ROUSSILLON
Créé en août 1952 à Reims, l’EC 1/11 « Roussillon » forme le noyau de la 11ème EC.Du 5 décembre 1952 au 10 juin 1953,...
Reprenant le flambeau du 1/11, dissous le 31 juillet 1994, l’Escadron de Formation des Instructeurs Pilotes 01/011 « Roussillon » renait le 15 mai 2014 sur la BA 709 de de Cognac équi-pé de TB-30 Epsilon et de Grob120A-F. Il y assure la formation en vol des moniteurs, et devient ainsi le garant de la standardisation indispensable à sa mission de régénération des personnels navigants de l’armée de l’Air.
Le 18 octobre 2018, suite à l’arrivée des PC21, l’escadron 1/11 Roussillon devient Escadron de Standardisation et d’Evaluation, toujours sur Grob 120 mais également avec le Pilatus PC21 destiné à faciliter la transition des pilotes vers leurs futurs avions d’armes modernes comme le Rafale au travers de 3 phases de formation : « basic », « advanced » et « rated ». Les pilotes réalisent ainsi aussi bien des missions d’air-air (combat à vue, combat radar) que des missions d’air-sol (assaut à vue, bombe et canon simulé) tout en faisant leurs preuves en VSV, voltige et navigation. Les attributions de l’escadron constituent un triptyque : transformer les moniteurs et tester les jeunes pilotes, assurer la cohérence globale de l’outil de formation PC21 (simulateurs, vol, formation technique au sol,…) et garantir une expertise de formation vis-à-vis de l’EAC (École de l’aviation de chasse).
Il continue aujourd’hui, comme les trois autres unités héritières à faire sienne la devise de la 11ème Escadre « RES NON VERBA ».
La Tragédie est créée à Chartres le 1er mai 1939 en tant que 5ème escadrille du GC III/6, alors sur Morane 406. Ses traditions sont ensuite reprises par diverses escadrilles du GC III/6, devenu « Roussillon », puis elle intègre le GM III/6 Roussillon le 2 mai 1950 avant que l’insigne n’orne les dérives du 1/11 Roussillon dès le 1er août 1952 jusqu’à sa dissolution à la 11ème Escadre le 31 juil-let 1994.
La Tragédie renait en tant que 3ème escadrille de l'EC 3/11 Corse à Toul du 1er septembre 1994 au 31 juillet 1997.
Le 15 mai 2014 elle est réactivée à Cognac comme 1ère escadrille de l'EFIP 1/11 Roussillon qui devient le 16 septembre 2020 le STANEVAL 1/11 Roussillon, toujours à Cognac.
La Comédie est créée à Chartres le 1er mai 1939 en tant que 6ème escadrille du GC III/6, alors sur Morane 406. Ses traditions sont ensuite reprises par diverses escadrilles du GC III/6, devenu « Roussillon », puis du GM III/6 Roussillon avant que l’insigne n’orne les dérives du 1/11 Roussillon jusqu’à sa dissolution à la 11ème Escadre le 31 juillet 1994.
La Comédie renait en tant que 3ème escadrille de l'EC 2/11 Vosges à Toul du 1er août 1994 au 31 juillet 1996.
Le 15 mai 2014 elle est réactivée à Cognac comme 2ème escadrille de l'EFIP 1/11 Roussillon qui devient le 16 septembre 2020 le STANEVAL 1/11 Roussillon, toujours à Cognac.
RC 2/30 “NORMANDIE – NIEMEN”
Le GC “Normandie” est créé à Rayak le 1er septembre 1942 avant de s’envoler pour l’URSS où le général Bouscat lui attribue le 29 décembre 1943 le statut de « Régiment ». Puis l’unité devient “Régiment du Niémen” le 23 juin 1944 et remportera le plus grand nombre de victoires aériennes à la fin de la guerre (273 homologuées, jusqu’à 29 victoires en une journée).
RC 2/30 “NORMANDIE – NIEMEN”
Le GC “Normandie” est créé à Rayak le 1er septembre 1942 avant de s’envoler pour l’URSS où le général Bouscat lui attribue le 29 décembre...
Un temps sur Mosquito, le GC II/6 part en 1949 pour l’Indochine équipé de P-63 Kingcobra C puis de F6F-5 Hellcat. En mai 1951, il quitte l’Indochine pour s’établir fin 1951 sur la base d’Oran-la-Sénia sur P-47 Thunderbolt puis rapidement sur Mistral (SE532 et SE535), premiers avions à réaction. L’unité reçoit ses premiers Vautour IIN en 1960 et devient l’ECTT 2/6 (Escadron de Chasse Tout Temps). En 1962, il est renuméroté ECTT 2/30 et rejoint Orange puis Reims en 1966. En 1973, le « Neu-Neu » redevenu « Escadron de Chasse » (DA) passe sur Mirage F1 C, puis sur F1 CT le 13 octobre 1993 et devient brièvement le 1/13 « Normandie-Niemen » sur la base de Colmar. Il participe aux opérations Turquoise au Rwanda, Crécerelle en Bosnie puis Epervier au Tchad. A la disparition de de la 13ème Escadre le 23 juin 1995, l’unité prend la dénomina-tion de « RC 2/30 Normandie-Niémen ». Le 27 juin 2008, l’unité fusionne avec Le GC 1/30 « Alsace », donnant naissance à une unité forte de 18 Mirage F1 CT et 7 F1 B assurant trois mis-sions prioritaires : l’alerte opérationnelle dans le cadre de la défense aérienne du territoire, l’armement d’un détachement permanent au Tchad et la transformation sur Mirage F1 B des jeunes pilotes. Le « Normandie-Niemen » est mis en sommeil le 3 juillet 2009. Depuis sa réactivation à Mont-de-Marsan le 25 juin 2012, sur Rafale C/B, il a intégré les deux escadrilles de l’EC 2/11 « Vosges » au côté du « Canard » de la SPA93. Le 2/30 a participé aux principales missions extérieures françaises (Serval, Barkhane, Hamilton, Chammal) tout en continuant à assurer sa mission de protection du territoire. C'est aujourd'hui l'escadron référent en matière de travail avec les forces spéciales, d'attaque air-sol et de reconnaissance.
La SPA 91 trouve son origine le 2 mai 1917 à Lunéville lors de la 1ère guerre mondiale tout d’abord sur Nieuport 12/23/24 (N91) avant de devenir SPA 91 en janvier 1918 sur SPAD VII et XIII. Dissoute à Malzéville le 9 juillet 1919, elle devient la 4ème escadrille de l’Ecole de l’air de 1935 à 1939. Elle renait le 1er octobre 1952 comme 1ère escadrille de l'EC 2/11 Vosges, où elle orne les dérives des F-100 puis des Jaguar. Elle survit à la dissolution de l’Escadre le 31 juillet 1994 et reste active à Toul jusqu’au 31 juillet 1996. Du 5 décembre 1996 au 31 mars 2012 elle renait comme 3ème escadrille 1/7 « Provence ». Elle est de nouveau réactivée à Mont de Marsan au sein du RC 2/30 Normandie-Niemen comme 3ème escadrille le 25 juin 2012, date d’arrivée de ses Rafale dont elle orne les dérives.
La SPA 97 trouve son origine le 1er juillet 1917 à Froidos (55) lors de la 1ère guerre mondiale, tout d’abord sur Nieuport 17/23/24 (N97) avant de devenir SPA 97 le 1er décembre 1917 sur SPAD VII et XIII. Elle appartient successivement à diverses escadrilles : la 102ème puis la 2ème du 3 RAC de janvier 1920 à sep-tembre 1933, la 1ère du Groupe Aérien Régional de l’Aviation Légère de Défense (GARALD 574) d’avril 1937 à septembre 1938, l’Escadrille Régionale de Chasse (ERC 574) jusqu‘au 15 mai 1940 puis la 6ème escadrille du GC III/5 où elle sera dissoute de 1er août 1940. Elle renait le 1er octobre 1952 comme 2ème escadrille de l'EC 2/11 Vosges, où elle orne les dérives des F-100 puis des Jaguar. Elle survit à la dissolution de l’Escadre le 31 juillet 1994 et reste active à Toul jusqu’au 31 juillet 1996. Elle est finalement réactivée à Mont de Marsan au sein du RC 2/30 Normandie-Niemen comme 2ème escadrille le 25 juin 2012, date d’arrivée de ses Rafale.
Initialement représentée par un canard blanc, il deviendra colvert en janvier 1924 et prendra pour définition héraldique : « canard d’émail blanc et de sable, viléné d’argent, colé de sinople et ailé d’émail blanc et de sinople passant au naturel ». La SPA 93, initialement N93, nait le 06 mai 1917 à Corcieux (88), sur Nieuport 17, 23 et 24, avant de devenir SPA 93 sur SPAD VII et XIII le 25 novembre 1917.
Ses traditions sont ensuite reprises par diverses escadrilles : la 6ème du GC III/1 de novembre 1939 à juillet 1940, la 3ème du GC II/3 de mai à août 1943, la 2ème de l’escadron 2/17 de juin 1954 à mars 1956, la 2ème de l’EC 3/10 « Aunis » jusqu’en février 1958, puis la 2ème escadrille de l’EC 1/10 « Valois », de février 1958 à avril 1985, et enfin 2ème escadrille de l’EC 1/30 « Valois » ou elle sera dissoute le 27 juin 1994.
Elle est réactivée comme 1ère escadrille du RC 02/030 Normandie-Niemen, le 3 septembre 2015 sur RAFALE à Mont de Marsan.
EC 3/11 CORSE
Le 1er juin 1953, le troisième escadron de la 11ème Escadre est créé à Luxeuil. Alors sur F-84F, il prend initialement le nom et les traditions du « Jura » jusqu’à sa dissolution le 12 novembre 1957. Le 1er avril 1966, il renait à Colmar sur F-100D/F sous le nom de 3/11 « Corse » reprenant les traditions des SPA 69 « Chat » et SPA 88 « Serpent » du groupe de chasse GC 1/1 « Corse ». Il opèrera ensuite à partir de Toul-Rosières dès le 31 octobre 1967.
EC 3/11 CORSE
Le 1er juin 1953, le troisième escadron de la 11ème Escadre est créé à Luxeuil. Alors sur F-84F, il prend initialement le nom et les...
Dernier escadron de la 11ème Escadre en activité, l’EC 03/011 est mis en sommeil le 31 juillet 1997, pour renaître le 17 avril 2008 comme successeur de l’EC 4/33 « Vexin » sur la BA 188 « Colonel Massart » de Djibouti. C'est à la date, symbolique pour le "Corse", du 03/11/2018 que se déroule à Djibouti la cérémonie de recréation de l’escadron avec les SPA69 et SPA88. Pour remplir ses missions de DA et d'assaut conventionnel, l'escadron dispose alors de sept Mirage 2000C RDI et de trois Mirage 2000D. Le 31 août 2011, les Mirage 2000C RDI sont remplacés par quatre Mirage 2000-5F. Les 70 ans de l'appellation "Corse" sont célébrés le 11 janvier 2014 à Djibouti. A cette occasion, les Mirage arborent brièvement une gueule de requin, héritée des F-100 du 4/11 « Jura » de 1978. Le Mirage 2000-5F, numéro 57 immatriculé 188-ET, reçoit en plus une décoration spéciale anniversaire. Le premier juin 2016 a lieu la cérémonie de retrait des M2000D dont les deux derniers quittent Djibouti le 16 juin. Le format de l'escadron est adapté et sa mission se recentre sur sa mission de police du ciel dans l'espace aérien djiboutien. Évoluant dans un contexte interarmées et international, l’escadron participe à de nombreux exercices avec des forces alliées. Force prépositionnée, l’EC 3/11 « Corse » met à disposition des autorités françaises une capacité d’intervention réactive et efficace tout en assurant une mission d’aguerrissement des équipages de l’armée de l’Air et de l’Espace, et également de personnel des autres armées.
La SPA 88 trouve son origine le 06 mai 2017 à Belfort-Chaux (90) lors de la 1ère guerre mondiale, tout d’abord sur Nieuport 17, 23 et 24 avant de devenir SPA 88 en passant sur SPAD VII et XIII le 25 septembre 1917. Ses traditions sont ensuite reprises parfois avec de courtes interruptions par diverses escadrilles : la 105ème escadrille du 3ème RAC dès janvier 1920, la 5ème escadrille du 3ème RAC en août 1920, la 1ère escadrille du GC I/3 de septembre 1933 à novembre 1941, la 1ère escadrille du GC I/3 « Corse » de janvier 1943 à juillet 1947, la 1ère escadrille du GC 1/6 « Corse » de juillet 1947 à avril 1952, puis la 1ère escadrille de l’EC 1/1 « Corse » d’avril 1952 au 28 juin 1966, enfin la 1ère escadrille de l’EC 3/11 « Corse » d’avril 1966 à juin 1997. Elle renait finalement à Djibouti en tant que 1ère escadrille de l’EC 3/11 « Corse » du 3 novembre 2008 à nos jours.
La SPA 69 trouve son origine le 20 septembre 1915 à Lyon-Bron (69) lors de la 1ère guerre mondiale, tout d’abord sur Nieuport 10 avant de devenir SPA 88 en passant sur SPAD VII et XIII en novembre 1917. Ses traditions sont ensuite reprises parfois avec de courtes interruptions par diverses escadrilles : la 2ème escadrille du GC I/3 de septembre 1933 à juillet 1947, la 2ème escadrille du GC I/6 « Corse » jusqu’en avril 1952, puis la 2ème escadrille du GC 1/1 « Corse » jusqu’en février 1966, enfin la 2ème escadrille du 3/11 « Corse » d’avril 1966 au 27 juillet 1997. Elle renait finalement à Djibouti en tant que 2ème escadrille de l’EC 3/11 « Corse » du 3 novembre 2008 à nos jours.
EIS 4/11 JURA
L’escadron 4/11, reconstitué à Djibouti en 1972 et dernier né des escadrons de la 11ème EC, reprend les traditions du 3/11 « Jura », dissous le 12 novembre 1957.
Suite au retrait du dernier F-100 « Super Sabre » de l’armée de l’Air le 31 décembre 1978, l’EC 4/11 « Jura » quitte Djibouti pour s’installer le 1er janvier 1979 sur la BA106 de Bordeaux-Mérignac. Il y sera doté de Jaguar A/E et dissous le 30 juin 1992.
EIS 4/11 JURA
L’escadron 4/11, reconstitué à Djibouti en 1972 et dernier né des escadrons de la 11ème EC, reprend les traditions du 3/11 « Jura », dissous...
Le 1er septembre 2007, dans la continuité de la création de l’école de formation franco-belge AJETS, l’escadron de STANdardisation et d’EVALuation (STANEVAL) est créé sur la BA705 de Tours (avec une antenne à Cazaux) pour garantir la qualité de la formation et du contrôle des compétences de l’École de l’Aviation de Chasse (EAC). Son insigne escadron est homologué le 27 septembre 2011 sous le N° A1407, associant le Sphinx de la SPA 161 du 4/11 « Jura » à l’insigne fétiche de l’As belge aux 37 victoires Willy Coppens, la « Cocotte blanche en pa-pier », homologuée à la même date sous le N° A1408. Le 28 août 2013, par filiation directe, le STANEVAL 4/11 «Jura» est institué héritier du patrimoine de tradition de l’ex-EC 4/11 «Jura», et la SPA161 en devient sa 1ère escadrille. Dans la dynamique du déplacement de la formation des pilotes de chasse à Cognac Le 4/11 « Jura » devient le premier E.I.S (Escadron d’Instruction au Sol) de l’armée de l’Air et de l’Es-pace le 2 octobre 2020. Grâce aux simulateurs FNPT2 (Flight & Simulation Procedure Trainer), FMS (Full mission simulator) et PTT (Part Task Trainer), il assure la formation au sol sur Grob 120 et Pilatus PC-21. Ses personnels assurent l’intégralité de la formation au sol des jeunes pilotes, navigateurs officiers système d’arme et Moniteurs Simulateurs de l’armée de l’Air et de l’Espace et de la Marine Nationale. Il assure également la transformation de pilotes plus aguerris sur les aéronefs école. L’escadron contribue à hauteur de 40% de la totalité des missions de formation et couvre l’intégralité des domaines d’activités auxquels ces PN seront confrontés durant leur vie opérationnelle.
La SPA 158 trouve son origine lors de la 1ère guerre mondiale le 1er janvier 1918 à Bonneuil (51), tout d’abord sur Nieuport 24/27 avant de passer Morane-Saulnier type A1, devenant MS 158, avant de devenir SPA 158 en passant sur SPAD VII et XIII le 19 mai 1918. Elle constitue la 1ère escadrille de l'EC 3/11 Jura du 1er juin 1953 au 12 novembre 1957 puis devient la 1ère escadrille de l'EC 4/11 Jura, alors sur Jaguar, du 1er décembre 1972 jus-qu’à sa dissolution à la 11ème Escadre le 3 juillet 1992. Elle rejoint finalement l’EAC 315 de Cognac le 16 septembre 2020 pour être attribuée aux moniteurs simulateur GROB 120 de la 1ère escadrille de l'EIS 4/11.
La SPA 161 trouve son origine le 5 janvier 1918 à Lhéry (51), tout d’abord sur Nieuport 24/27 avant de passer Morane-Saulnier type A1, devenant MS 161, puis SPA 161 en passant sur SPAD VII et XIII le 19 mai 1918. Ses traditions sont ensuite reprises par deux escadrilles : la 2ème de l'EC 3/11 Jura du 1er juin 1953 au 12 novembre 1957 puis la 2ème escadrille de l'EC 4/11 Jura, alors sur Jaguar, du 1er novembre 1975 jusqu’à sa dissolution à la 11ème Escadre le 30 juillet 1992. Elle devient ensuite la 1ère escadrille du STANEVAL 4/11 « Jura » au GE 314 Tours le 13 septembre 2012 et rejoint finalement l’EAC 315 à Cognac le 16 septembre 2020 pour être attribuée aux moniteurs simulateur PC21 de la 2ème escadrille de l'EIS 4/11.
La cocotte blanche apparaît sur le Nieuport 17 de Willy Coppens de Houthulst à l'été 1917. Elle devient l'insigne de la 11ème escadrille en mars 1918. Dans l'entre-deux guerres elle est déclinée en différentes versions et couleurs dans diverses escadrille, puis en 1939 sur le fuselage des Fiat CR-42 des 3ème et 4ème escadrille. Disparue dans la tourmente du conflit, la cocotte resurgit au 7ème Wing de chasse de jour alors à Chièvres, dans un écu incliné à 45° surmonté d'un listel arborant "Get in". Le fond de l'écu est rouge pour la 7ème escadrille, bleu pour la 8ème et vert pour la 9ème. Cette cocote étant devenu l'emblème des unités-écoles belges, lorsque leurs Alphajet de la 7ème escadrille arrivent à Cazaux en 2004, leur cocotte était dans son écu rouge.
AEROSCOPIA
Ouvert en janvier 2015 à Blagnac, à proximité des usines Airbus, le musée retrace l’histoire de l’aéronautique jusqu’à nos jours.
AEROSCOPIA
Ouvert en janvier 2015 à Blagnac, à proximité des usines Airbus, le musée retrace l’histoire de l’aéronautique jusqu’à nos jours.
- moins de 6 ans
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Gratuit
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Adultes :
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Tarifs réduits * : 11 €
-
Pass annuel : 26 € (pass annuel réduit à 20€)
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Pass Famille** : 80 €
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- Adultes
14€
Section de l’association Espaces Aéro Lyon Corbas (EALC), c’est un musée d’aviation géré par une équipe 100% bénévole. Restaurations, visites guidées parmi plus de 35 appareils, enseignement du Brevet d’Initiation Aéronautique (BIA), activités éducatives pour les classes de 3e, venez découvrir nos différents espaces sur l’aérodrome de Lyon-Corbas.
Musée de l’Aviation Clément Ader
Section de l’association Espaces Aéro Lyon Corbas (EALC), c’est un musée d’aviation géré par une équipe 100% bénévole. Restaurations, visites guidées parmi plus de 35 appareils, enseignement...
Mirage 2000, Jaguar E, Mirage IV et Mystère IV ou SMB2, le musée retrace, de Clément Ader à Marcel Dassault, plus de 100 ans d'aviation !
Musée européen de l’aviation de chasse
Situé sur l’aérodrome de Montélimar, à quelques minutes du centre historique de la capitale du nougat, le Musée Européen de l’Aviation de Chasse vous propose d’embarquer pour une aventure exceptionnelle…
Musée européen de l’aviation de chasse
Situé sur l’aérodrome de Montélimar, à quelques minutes du centre historique de la capitale du nougat, le Musée Européen de l’Aviation de Chasse vous propose d’embarquer pour une aventure exceptionnelle...
Sur une surface totale de plus de 25 000 m² (dont 5 000 m² de surfaces couvertes), découvrez une collection unique de 66 avions de légende, mais aussi des réacteurs, des maquettes, un musée des transmissions, un véritable cockpit de DC7, une Caravelle ouverte au public, et une vitrine sur l’atelier de restauration … Le saviez-vous ? Le musée est le plus important site de sauvegarde du patrimoine aéronautique du Sud-Est de la France ! Et les bénévoles et salariés qui l’animent quotidiennement se feront une joie de vous accueillir.
Nous vous proposons de côtoyer au plus prêt, les appareils appartenant à la période « faste » de l’aéronautique de 1944 à 1970.
Musée de l’Epopée et de l’Industrie Aéronautique
Nous vous proposons de côtoyer au plus prêt, les appareils appartenant à la période « faste » de l’aéronautique de 1944 à 1970.
Vous aurez entre autres la possibilité de monter à bord : D’un « C47 » (Dakota) qui a fait plusieurs rotations entre Londres et Sainte-Mère-Eglise dans la nuit du 5 au 6 juin 1944 (Date du débarquement en Normandie) De la caravelle qui a effectué le dernier vol commercial pour Air France en Mars 1981, et d’autres appareils à découvrir lors de votre visite.
La collection du CAEA compte plus de cinquante avions, dont certains extrêmement rares voire même uniques comme le E02.
Conservatoire de l’air et de l’espace d’Aquitaine
La collection du CAEA compte plus de cinquante avions, dont certains extrêmement rares voire même uniques comme le E02.
La collection du CAEA compte plus de cinquante avions, dont certains extrêmement rares voire même uniques comme le prototype du Mystère IV N aux commandes duquel Jacqueline Auriol battit un record de vitesse féminin, ainsi que la quasi-totalité de la production militaire Dassault, du Flamant au Mirage 2000 en passant par le bombardier nucléaire Mirage IV, La production civile est également représentée par les Falcon, Mercure, Caravelle Zéro G du CNES. On trouve également conservés au CAEA des aéronefs de l’aéronavale ainsi que des hélicoptères, des planeurs, des avions légers et même un Canadair CL 215 de la Sécurité Civile. Une section « aviation volante » présente un Stampe et un Starke restaurés qui volent chaque week-end pour le plaisir des membres de l’association et représente le CAEA lors des meetings et réunions aériennes régionales. D’autres avions sont actuellement en cours de remise en vol. Est également présentée une trentaine de moteurs (à pistons et à réaction), des maquettes de soufflerie et d’exposition, des uniformes, des équipements et de nombreux autres objets en rapport avec l’histoire de l’aéronautique. Des salles thématiques sont ouvertes aux visiteurs, la salle Air France (salle Jean Macaigne), la salle des groupes lourds (Guyenne et Tunisie), la salle sauvetage … Le CAEA participe à de nombreuses actions extérieures de démontage d’aéronefs, d’exposition, de manifestations thématiques, de tournages de films...
Espace Patrimonial Rozanoff
Espace Patrimonial Rozanoff
Association du Mémorial des Aviateurs – AMA
A l’initiative d’anciens aviateurs il a été décidé la création d’un Mémorial, qui rassemblera les noms de tous les aviateurs, quelle que soit leur spécialité, qui sont morts dans l’accomplissement de leur mission.
Association du Mémorial des Aviateurs – AMA
A l’initiative d’anciens aviateurs il a été décidé la création d’un Mémorial, qui rassemblera les noms de tous les aviateurs, quelle que soit leur spécialité, qui sont morts dans l’accomplissement de leur mission.
A l'initiative d'anciens aviateurs il a été décidé la création d'un Mémorial qui rassemblera les noms de tous les aviateurs, quelle que soit leur spécialité, qui sont morts dans l'accomplissement de leur mission. Premier composant de ce mémorial, un monument, conçu par l'artiste Bernard Métais, vient d'être installé devant le Musée de l'Air et de l'Espace au Bourget . L'AMA réalise le second composant, sous la forme d'un espace interactif et multimédia, qui valorisera tout particulièrement chaque disparu.
Pilote de Chasse 11EC
Notre camarade André Carbon est le Webmaster de ce site qui rassemble des documents et histoires qui témoignent de la vie de la 11ème Escadre
Pilote de Chasse 11EC
Notre camarade André Carbon est le Webmaster de ce site qui rassemble des documents et histoires qui témoignent de la vie de la 11ème Escadre
Les histoires de la 11 et de la 7 sont intimement liées au travers de leur dernier avion commun : le JAGUAR. En outre nombre de leurs personnels sont passés de l’une à l’autre des escadres, notamment après la dissolution de la 11, jusqu’au dernier vol du JAGUAR en France.
Association des Personnels et Amis de la 7e Escadre de chasse – APAEC 7
Les histoires de la 11 et de la 7 sont intimement liées au travers de leur dernier avion commun : le JAGUAR. En outre nombre...
Malgré la mission nucléaire prépondérante un temps à la 7, la 11ème Escadre et la 7 ont partagé de nombreux détachements conventionnels. Par ailleurs, tous les pilotes JAGUAR sont passé par le 2/7 ARGONNE pour leur transformation JAGUAR.
Site Facebook Amicale 11EC
Un site Facebook où vous pouvez demander à devenir membre pour partager un peu plus sur la 11ème Escadre.
Site Facebook Amicale 11EC
Un site Facebook où vous pouvez demander à devenir membre pour partager un peu plus sur la 11ème Escadre.
Il vous suffit de devenir membre pour contribuer à faire vivre cet espace mémoriel.
Association Saint-Dizier Aéro Rétro
Installée dans les locaux de l’Aéro-Club de Saint-Dizier sur le terrain d’aviation mythique de Saint-Dizier qui a fêté ses 100 ans en 2013, l’association a pour buts le rapprochement des personnes intéressées par l’aéronautique, la valorisation et la mise en valeur du patrimoine aéronautique sous toutes ses formes, ainsi que l’organisation de manifestations et expositions permanentes et temporaires ouvertes au public.
Association Saint-Dizier Aéro Rétro
Installée dans les locaux de l’Aéro-Club de Saint-Dizier sur le terrain d’aviation mythique de Saint-Dizier qui a fêté ses 100 ans en 2013, l’association a...
La 7ème escadre installée sur la BA de St Dizier était équipée de Jaguar dans les mêmes temps que la 11ème Escadre. Malgré la mission spécifique de la 7ème escadre ces deux escadres ont effectué nombre d'opérations en commun et de très nombreux pilotes, mécaniciens, OR ou autres qui y opéraient sont passé de l'une à l'autre au cours de leurs vies opérationnelles tissant ainsi des liens forts et souvent indéfectible.